La phrase de Madeleine Guyot, présidente de la Ligue des familles (Belgique), a de quoi faire réagir : « L’Aliénation Parentale est un pseudo-concept sans fondement scientifique. Nous on plaide vraiment pour interdire en fait l’invocation de ce pseudo-concept». Prononcée lors de l’émission « Une éducation presque parfaite : Conflits d’adultes, blessures d’enfants » en mai 2025, cette affirmation reflète la position de certains groupes féministes qui remettent en cause la légitimité même de l’Aliénation Parentale. Ces groupes soutiennent que cette notion servirait à réduire au silence des mères protectrices ou victimes de violences, en la qualifiant de concept pseudo-scientifique inventé par des pères malveillants. Pourtant, de nombreuses études internationales et des évolutions juridiques récentes viennent contredire fermement cette vision réductrice, en démontrant que l’Aliénation Parentale constitue une réalité bien documentée aux conséquences graves pour les enfants.
Un « pseudo-concept » ? Une polémique alimentée par certains groupes
Plusieurs associations féministes militent activement contre la reconnaissance de l’Aliénation Parentale. Au Canada, l’Association nationale Femmes et Droit (NAWL/ANFD) a lancé en 2023 une campagne intitulée #StopParentalAlienationAccusations visant à faire interdire les allégations d’Aliénation Parentale dans les tribunaux familiaux[1]. Ces militantes présentent l’Aliénation Parentale comme une théorie sans fondement scientifique, utilisée selon elles pour discréditer la parole des mères et des enfants victimes de violences conjugales. En Belgique, la Ligue des familles – que préside Madeleine Guyot – a publié en 2024 une étude intitulée « Pour en finir avec l’Aliénation Parentale », adoptant un angle similaire. Cette contestation repose sur l’idée que le concept d’Aliénation Parentale manquerait de preuves empiriques et qu’il servirait d’arme judiciaire contre les mères.
Position des sceptiques : Pour ces groupes, il faudrait « mettre fin à l’utilisation des accusations d’Aliénation Parentale », y voyant un concept pseudo-scientifique instrumentalisé contre les femmes[1]. Ils affirment protéger ainsi les « mères protectrices » en empêchant des conjoints violents d’inverser les rôles et de se poser en victimes.
Or, de l’avis de nombreux experts, cette approche revient à nier un problème réel. En refusant de distinguer les situations où un parent manipule l’enfant pour rejeter l’autre, on risquerait de passer sous silence une forme subtile de maltraitance psychologique. Des commentateurs soulignent même que ce discours militant, s’il part d’une intention louable (protéger les victimes de violence domestique), peut involontairement offrir un écran à des comportements abusifs bien avérés. Autrement dit, à force de crier au « pseudo-concept », on pourrait laisser prospérer l’impunité de certains parents réellement manipulateurs – quelles que soient leur sexe ou leur motivation.
Ce que dit la science : un phénomène documenté depuis des décennies
Contrairement aux affirmations de Mme Guyot, la littérature scientifique abonde de travaux sérieux sur l’Aliénation Parentale. Dès le début des années 2000, des psychologues spécialistes du divorce conflictuel ont affiné la définition du phénomène. Par exemple, Kelly & Johnston (2001) ont proposé le concept d’« enfant aliéné » afin de distinguer l’Aliénation Parentale de simples conflits de loyauté[2]. Cette reformulation académique, publiée dans une revue de droit familial, montre bien que le sujet est pris au sérieux par les chercheurs depuis plus de 20 ans.
Dans les années suivantes, les études empiriques se sont multipliées. En 2015, une enquête publiée dans The American Journal of Family Therapy a révélé que les professionnels de la santé mentale et du droit savent identifier les cas d’Aliénation Parentale à partir de critères convergents[3]. De même, une vaste synthèse parue en 2018 dans Psychological Bulletin – l’une des plus prestigieuses revues de psychologie – a qualifié les comportements aliénants de forme de violence familiale à part entière[4]. La psychologue Jennifer Harman (Université d’État du Colorado), auteure de cette synthèse, souligne qu’environ 22 millions de parents aux États-Unis se déclarent victimes de comportements d’Aliénation Parentale de la part de l’autre parent[5]. Elle en appelle à « cesser de nier l’existence » de ce fléau, affirmant que l’Aliénation Parentale doit être traitée comme une maltraitance, tant envers l’enfant (qui subit un abus psychologique comparable à de la manipulation mentale) qu’envers le parent ciblé (qui subit une forme de violence conjugale indirecte)[4][6].
Plus récemment, les recherches ont documenté l’ampleur des dégâts causés aux enfants victimes. Des études longitudinales et qualitatives montrent que l’Aliénation Parentale entraîne des troubles mesurables à long terme. Parmi les conséquences identifiées par la science [7]:
- Perte d’estime de soi et troubles identitaires : l’enfant aliéné développe une image de soi fragilisée, une confusion dans son identité et une perception déformée de la réalité familiale. Ayant intégré un récit de rejet de l’autre parent sans base objective, il peut ressentir une culpabilité ou une auto-dévalorisation profondes[8]. La psychologue Amy J. L. Baker parle à ce propos d’un enfant qui, « retourné contre un parent, se retrouve retourné contre lui-même », soulignant les dommages internes causés à son bien-être psychologique[9].
- Détresse psychologique durable : une fois adulte, l’ex-enfant aliéné présente un risque accru de troubles anxieux, de dépression, voire d’idées suicidaires, comparativement à un enfant de parents séparés ayant conservé des liens sains avec ses deux parents[10]. Dans une étude, 70 % des adultes ayant vécu une Aliénation Parentale durant l’enfance rapportaient des symptômes dépressifs significatifs et des difficultés à nouer des relations de confiance[11]. Les chercheurs soulignent également des problèmes de dépendances, de faible résilience au stress, et même un impact intergénérationnel : ces adultes peinent à se projeter comme parents équilibrés à leur tour, reproduisant parfois malgré eux des schémas de conflit[10].
En somme, la base scientifique de l’Aliénation Parentale est aujourd’hui bien établie. Des revues de la littérature validées par comités de lecture, des enquêtes de terrain et des articles spécialisés convergent pour reconnaître l’existence du phénomène, le définir et en mesurer les effets pervers. L’Aliénation Parentale figure même, indirectement, dans les classifications médicales : le diagnostic « problème relationnel parent-enfant » du DSM-5 et de la CIM-11 couvre en partie ces situations de rejet indu – preuve que la communauté médico-psychologique intègre cette problématique dans ses référentiels (même si le terme exact « Aliénation Parentale » n’y apparaît pas explicitement). Ignorer cet ensemble de travaux sous prétexte qu’ils ne correspondent pas à une catégorie psychiatrique officielle serait une erreur : toutes les études sérieuses concordent pour décrire un processus néfaste et identifiable, distinct d’un simple conflit familial[3][12].
Reconnaissance par les professionnels et la justice
La validité du concept d’Aliénation Parentale ne se manifeste pas qu’en laboratoire ou dans des revues académiques : elle est également reconnue par les praticiens de terrain et les tribunaux. Dans plusieurs pays, magistrats, avocats et travailleurs sociaux ont commencé à se former spécifiquement pour mieux détecter et gérer ces situations complexes.
Ainsi, au Royaume-Uni, l’année 2025 a marqué un tournant notable : la Judicial College (institut de formation des juges) a intégré un module obligatoire sur l’Aliénation Parentale dans le cursus des juges aux affaires familiales[13]. Cette initiative fait suite à une recommandation du Family Justice Council britannique, qui a émis en décembre 2024 une guidance nationale redéfinissant les « alienating behaviours » et préconisant une attitude proactive des juges face à ces allégations[14]. Concrètement, la formation britannique met l’accent sur des critères clairs pour distinguer un enfant simplement réticent (par exemple après un conflit ponctuel) d’un enfant conditionné activement à haïr un parent sans raison valable[15]. On y enseigne, études de cas à l’appui, comment ordonner des enquêtes approfondies (fact-finding hearings), comment encadrer le travail des experts psychologues, et comment évaluer l’intérêt supérieur de l’enfant face à un constat d’aliénation[16]. L’objectif affiché est de « dépolariser le débat : moins d’étiquettes, plus de preuves, et une meilleure prise en compte de la voix de l’enfant »[17]. Autrement dit, loin d’être écarté comme un mythe, le concept d’Aliénation Parentale est intégré comme un savoir pratique indispensable pour les juges outre-Manche.
De l’autre côté de l’Atlantique, les juridictions québécoises ont récemment envoyé un message clair : les parents coupables d’Aliénation Parentale s’exposent à des sanctions bien réelles. En quelques mois seulement, trois décisions judiciaires distinctes au Québec ont condamné des parents pour avoir délibérément saboté la relation de l’enfant avec l’autre parent[18]. Dans ces affaires, les juges ont imposé des dommages-intérêts oscillant entre 10 000 et 15 000 $ à titre de réparation du préjudice moral causé[19]. Fait notable, l’un de ces jugements (Cour supérieure du Québec, mai 2025) a retenu la faute civile d’Aliénation Parentale à l’encontre d’un père qui, pendant des années, avait mené une véritable campagne de dénigrement contre la mère de son fils[20][21]. Le tribunal a estimé que l’autorité parentale ne pouvait être détournée impunément pour détruire le lien parent-enfant : en appliquant l’article 1457 du Code civil (responsabilité civile), le juge a conclu que rompre le lien avec l’autre parent de façon malveillante constituait un abus engageant la responsabilité délictuelle[22]. « Un parent ne peut utiliser son influence pour rompre volontairement la relation de l’enfant avec l’autre parent sans en assumer les conséquences », résume l’analyse du jugement[23]. Ce dernier précise que, lorsque la preuve est claire et convaincante, l’Aliénation Parentale constitue une faute – et qu’à ce titre elle peut donner lieu à des réparations civiles exemplaires. En termes simples, la justice reconnaît désormais que manipuler un enfant contre son autre parent, c’est une forme de maltraitance qui peut coûter cher à son auteur[24].
Dans la francophonie, d’autres instances commencent aussi à bouger. Au Québec, l’Ordre des psychologues (OPQ) travaille depuis 2024 à l’élaboration d’un cadre normatif pour mieux définir et diagnostiquer l’Aliénation Parentale[25]. Cette initiative vise à doter les praticiens d’outils fiables pour distinguer un refus de voir un parent dû à des causes légitimes (par exemple, un historique de violence avéré) d’un refus issu d’une emprise psychologique injustifiée. En mai 2025, le PASG 2025 (Parental Alienation Study Group) s’est tenu à Toronto. Cet événement international a rassemblé chercheurs, praticiens et magistrats autour des dernières avancées sur l’Aliénation Parentale — diagnostic, impact, protocoles d’intervention et formation judiciaire. Le site de la conférence rappelle l’importance de ce rendez-vous scientifique pour la justice familiale : « un congrès déterminant pour la justice familiale ».
En France, la notion d’Aliénation Parentale reste controversée, mais elle apparaît de plus en plus dans les tribunaux. Certains avocats spécialisés, à l’instar de Me Brigitte Bogucki, soulignent que les juges français sont confrontés concrètement à ces situations et commencent à en tenir compte dans leurs décisions, même en l’absence d’une loi explicite sur le sujet.
Protéger les enfants avant tout : l’urgence d’un regard objectif
Il ressort de cet examen que qualifier l’Aliénation Parentale de “pseudo-concept sans base scientifique” est factuellement inexact. Bien sûr, la notion a pu être instrumentalisée ou mal comprise dans certains contextes – comme tout concept psychologique émergent. Mais les preuves accumulées au fil des années par la communauté scientifique et les signaux envoyés par les systèmes juridiques convergent vers le même constat : l’Aliénation Parentale est un phénomène réel, aux mécanismes identifiables et aux conséquences potentiellement dévastatrices.
Ignorer ou minimiser ce phénomène ne fait qu’ajouter de la souffrance à des enfants déjà pris dans des conflits de loyauté ingérables. À l’inverse, le reconnaître comme tel permet de mieux former les professionnels, d’outiller les juges et de sensibiliser les familles aux dérives à éviter. Il ne s’agit en aucun cas de protéger des parents maltraitants ou de cautionner des transferts de garde abusifs ; il s’agit de disposer d’une grille de lecture supplémentaire pour déceler la manipulation là où elle se cache, et pour intervenir au plus tôt dans l’intérêt de l’enfant.
En dernière analyse, la science apporte un éclairage précieux pour distinguer la vraie Aliénation Parentale des situations où ce terme pourrait être invoqué à tort. Plutôt que de nier en bloc l’existence du concept, il convient de l’utiliser avec rigueur et nuance : c’est précisément ce que préconisent les experts et désormais certains magistrats formés. Comme le dit la formule, « on a le droit de ne pas y croire, mais pas de nier les faits ». Et les faits, étayés par les études et l’expérience de terrain, nous rappellent que l’Aliénation Parentale n’a rien d’une chimère : c’est une réalité à combattre, pour préserver le lien essentiel enfant-parent et éviter de nouvelles blessures d’enfants dans les conflits d’adultes.
Sources : Bernet et al. (2015)[3]; Kelly & Johnston (2001)[2]; Harman, Kruk & Hines (2018)[4]; Baker & Ben-Ami (2011)[11]; Guidance du Family Justice Council (R.-U., 2024)[13]; Schirm, S. – Le Québec maintenant (98.5 FM)[26]; Décision Cour sup. Québec 2025[20][23]; Campagne NAWL Stop Parental Alienation[1].
Revoir l’émission complète « Une Éducation presque parfaite : Conflits d’adultes, blessures d’enfants »
Consultez le replay de l’émission sur : https://www.telesambre.be/emission/une-education-presque-parfaite/une-education-presque-parfaite-conflits-dadultes-blessures-denfants/72522
Références académiques
Bernet, W., Baker, A. J. L., & Verrocchio, M. C. (2015). Identifying parental alienation: A survey of mental health and legal professionals. The American Journal of Family Therapy, 43(3), 205–216.
Harman, J. J., Kruk, E., & Hines, D. A. (2018). Parental alienating behaviors: An unacknowledged form of family violence. Psychological Bulletin, 144(12), 1275–1299. https://doi.org/10.1037/bul0000175
Kelly, J. B., & Johnston, J. R. (2001). The alienated child: A reformulation of parental alienation syndrome. Family Court Review, 39(3), 249–266.
Harman, J. J., Bernet, W., Harman, J., et al. (2022). Children, 9(4), 475. https://www.mdpi.com/2227-9067/9/4/475
Baker, A. J. L. (2005). The long-term effects of parental alienation on adult children: A qualitative research study. The American Journal of Family Therapy, 33(4), 289–302. https://doi.org/10.1080/01926180590962129
Baker, A. J. L., & Ben-Ami, N. (2011). To turn a child against a parent is to turn a child against himself: The direct and indirect effects of exposure to parental alienation on self-esteem and well-being. Journal of Divorce & Remarriage, 52(7), 472–489. https://doi.org/10.1080/10502556.2011.609424
Drozd, L. M., & Olesen, N. W. (2004). Is it abuse, alienation and/or estrangement? A decision tree. Journal of Child Custody, 1(3), 65–106. PDF
Sources complémentaires
Cœur Bleu – Article sur formation des magistrats (FR)
Becket Chambers (UK) – Analyse guidance Family Justice Council
Judiciary.uk – Family Justice Council – Ressources officielles UK
Blogue du CRL (Québec) – Responsabilité civile (jurisprudence)
Girard Avocats (Québec) – Dénigrement parental
Ministère Justice Canada – Rapport gouvernemental (PDF)
Cabinet ACI (FR) – Manipulation et droits de l’enfant
La Presse (Canada) – Enquête sur durcissement tribunaux
Koenig, R. (2024). Parents.com – Article vulgarisation US
Verywell Mind (2024). Impact sur enfants et familles (santé mentale grand public)
Frosch, D. (2024, 25 août). Wall Street Journal – Thérapies de réunification (USA)
Ordre des psychologues du Québec – Méthodologie et diagnostic
Cœur Bleu – Le Québec et le vide normatif
[1] NAWL continues advocating against parental alienation accusations …
[2] [3] Conflit de loyauté / Aliénation Parentale : une frontière à ne pas franchir – Coeur Bleu
[4] [5] [6] [12] An understudied form of child abuse and ‘intimate terrorism’: Parental alienation | ScienceDaily
[7] [8] [9] [10] [11] « Tu n’es plus mon papa. Mon nouveau papa c’est X » : miroir d’une Aliénation Parentale – Coeur Bleu
[13] [14] [15] [16] [17] [25] Quand la justice se forme pour mieux protéger les enfants de l’Aliénation Parentale – Coeur Bleu
[18] [19] [26] Droit de la famille | Les tribunaux serrent la vis à l’Aliénation Parentale — 98.5 Montréal
[20] [21] [22] [23] [24] Dénigrement Parental : une faute civile reconnaissable



Bonjour,
Vous avez fait un travail excellent, et même plus qu’excellent.
Je tiens à faire comprendre qu’une simple Boulangère identifierait IMMÉDIATEMENT un Enfant qui est aliéné (maltraité) ; ou, plus simplement dit : « un Enfant qui a la tête montée contre son Père, ou sa Mère, et, pour cette raison, le ou la rejette sans raison valable.
Une grille d’identification de 5 à 10,… points (et +) à vérifier, permet pour un Professionnel de la Santé, et du Droit, d’identifier si l’Enfant rejette l’un de ses 2 Parents sans raison valable ? Ou non !
Car, aucun Enfant au Monde ne rejette un de ses 2 Parents.
Dans un Monde où les avocats trafiquent les réalités, où les juges ferment les yeux ; sans appliquer / respecter les Articles contraignants de la CIDE publiée en 1989 ; sans respecter les Lois du Code Pénal, et Civil, il faut bien expliquer que ces Enfants aliénés (maltraités) ayant « perdu leurs liens d’attachement »(aliénation) — avec l’un de leurs 2 Parents — vont développer des troubles psychiques, des désordres comportementaux,… les affectant durant toute leur vie, ce qui les handicapera pour devenir des Adultes à part entière, ainsi que des Parents normaux !
Ce sont les principales causes — que l’on s’abstient de dénoncer —de tant de destructions de conditions de vies, d’avenirs,… pour tant d’Enfants mineurs, qui, devenus Jeunes, seront de plus en plus inaptes sur le Marché de l’Emploi. Je soulignerai aussi que des Jeunes de moins de 25 ans sont des débiles mentaux, devant — AUSSI — vivre aux crochets de la Société.
Les Juges — des Tribunaux de Familles — ayant pour mission :
« L’ OBLIGATION DE PROTÉGER LE PARENT ET L’ ENFANT » ; selon l’éthique de sa Profession, et de son Serment, protègent les Parents pervers, toxiques à leurs Enfants (Maltraitance), Pathologiques ; tout en ne réagissant jamais à appliquer les Règles, ainsi que les Lois.
En résumé, il s’agit d’un « Grand Commerce très lucratif » de traitements des séparations parentales conflictuelles, et d’exploitations / traites des Enfants pour ce qu’ils rapportent financièrement aux Parents kidnappeurs.
Ceci, étant un résumé sur les principaux dégâts sur les conditions de vies d’Enfants et de Parents maltraités (Aliénés).
Bien sincèrement,
Michel O. Willekens
Chercheur Indépendant
Dysfonctionnement des Tribunaux de Famille
& Conséquences sur la Santé des Enfants en Danger
Dysfunction of Family Courts
& Consequences for the Health of Children at Risk
R.E.C. 1994 INTERNATIONAL NETWORK GOUP
BELGIQUE – PASG
Parental Alienation Study Group PASG
Inc (PASG), est une organisation internationale à but non lucratif de professionnels de la santé mentale, de professionnels du droit, de parents et de grands-parents ciblés, et de défenseurs des enfants et des familles qui s’intéressent à l’étude de l’aliénation parentale.
On peut affirmer — si l’on partage mon point de vue — que s’il y a de plus en plus de maltraitances d’Enfants mineurs et de leurs Parents, dans les Tribunaux « de Familles, en les privant de leurs Liens d’attachement ; c’est en très grande partie à cause des réductions budgétaires en Matières de Justice, où les conflits de séparations parentales condamnent (à 95 / 98 %) des Familles aux destructions bien constatées de qualité de vies des Enfants et de leurs Parents aliénés.
La Justice a pourtant l’obligation de protéger chaque Citoyen honnête ! Qu’il soit Parent ou Enfant. C’est leurs DEVOIRS À TOUT JUGE DE LES PROTÉGER, selon l’étique de leur profession !
Oui, en réalité, la JUSTICE sert à protéger chaque Citoyen menteurs, auteurs de fausses accusations, d’allégations, sans aucune preuve (PARJURES) ; où les juges trafiquent les parjures en réalités.
Depuis 1994, je n’ai connu AUCUNE CONDAMNATION POUR PARJURE d’un Parent.
Dans le très grand pourcentage de destructions de vies affectives, économiques, sociales, d’avenirs de Parents normaux, les 3,6 k de ces Parents (du Groupe Le SAP) nous apportent, depuis 1994, leurs témoignages sur LES PROTECTIONS DE LA JUSTICE envers les Parents parjures, toxiques à leurs Enfants, voire même pathologiques,…
Et, depuis les années 80, des ignorants (de Scientifiques ? d’ Attardés ? ) s’opposent à l’existence de l’aliénation parentale, et sur la cause à effets (de l’AP) sur la santé des Victimes ciblées : sur leurs pathologies (syndrome) qui les ont affectées.. tels que schizophrénie, bipolaire, borderline,… Diagnostics des CIM-10 de l’OMS et DSM-5 de l’APA, publiés en 1993 et 1994.
Cela me fait penser à ces Individus prétendent que la Terre est plate…
Bref, l’affirmation généralisée sur le fait que l’AP n’existe pas, ça arrange très bien les « BOUTIQUIÉS d’avocats » qui s’en mettent plein les poches, jusqu’à ruiner leurs Clients,.. à les obliger de vivre sous le seuil de la pauvreté,… jusqu’aux moments où ils perdent leurs logements,.. et aussi, trop souvent leurs vies…
Oui ! Tout ça, parce que l’ Aliénation n’existe pas ! Mais, qu’en réalité : les 54 Articles contraignants de la « Convention Internationale des Droits de l’Enfants », la CIDE, créée en 1989, ne sont JAMAIS RESPECTÉS !
Alors que si peu de Gens, de valeur, osent rappeler ces dénis de droits de l’Enfant. Quasiment tous les Gens parlent ou critiquent l’AP ! Mais, combien dénoncent les VIOLATIONS de la CIDE ?
Le respect de cette CIDE passe, pourtant, AVANT TOUT ! Puisque en la respectant, l’AP n’aurait PAS LIEU D’ EXISTER !
J’espère que vous aurez compris, les raisons pour lesquelles la CIDE est bien cachée par l’euphémisme de l’AP ?
Oui, le brouillard artificiel que l’on crée avec les confusions sur l’existence, ou non, de l’AP aura bien servi les menteurs, les escrocs, les toxiques, les pathologiques,… depuis plus de 5 décennies.
Depuis 1994, je fus le disciple des Docteurs Richard Gardner (SAP), Williams (Parentectomie), et autres : William Bernet, Paul Bensussan, Craig Childress, Jean-Emile Vanderheyden,…
Je communiquerai un Livre qui vous expliquera, dans des détails, les situations de séparations parentales conflictuelles où des Enfants sont en DANGER. Cet ouvrage fut rédigé par 13 Spécialistes en Droit et en Santé mentale :
» Séparations Parentales conflictuelles – Enfants en Danger »
ISBN 2367177724 – 19,50 €
Je donnerai plus d’informations sur cet ouvrage très précieux pour approcher ce fléau moderne tant destructeur. Car il faut qu’un maximum de Citoyens puissent savoir ce qu’ils risquent en cas de séparation parentale, dans un Monde où 1 couple sur 2 se sépare ? Où seulement 20 % de couples sont heureux ? Et où la durée de vies de couples est de 6 ans ? Que deviendraient leurs Enfants ? Et quel Monde créerions nous ? Dans 50 ans ?
Bien sincèrement,
Michel O. Willekens